Dimanche 29 Avril

Nous profitons de ce jour pour aller avec Martin à Kamakura, petite station balnéaire au Sud de Yokohama. Nous y allons en JR, c'est direct depuis la staion de Martin. A l'arrivée il y a énormément de monde et ce dès la sortie du train (c'est le weekend et en plus il fait beau) c'est un peu chiant mais ca n'enlève rien à la beauté des paysages.

 

 

 

 

 

Nous visitons d'abord le temple Engaku-Ji, un des plus célèbre temple bouddhiste Zen du Japon. Des 40 bâtiments existants à l'époque, seuls 17 subistent aujourd'hui.
A coté se trouve le temple Tokei-Ji, qui était à l'origine un couvent. Il est surnomé le temple de divorce, car lorsque le divorce était interdit les femmes qui voulaient se séparer de leurs maris pouvaient divorcer à condition de s'etre retirées préalablement trois ans en ce lieu. Cette pratique pris fin en 1873 lorque le divorce fut autorisé.
Nous avons ensuite rejoint le point le plus celèbre de Kamakura (le grand Bouddha) par la colline. C'est une jolie randonnée à faire quoique assez casse gueule par moment car il y a d'énorme racines qui sortent de terre. Apparement ça ne doit pas gêner les Japonais, car j'ai vu des nanas la faire en talons... Lors du chemin on peut parfois apercevoir la mer en contrebas.

Après cette petite marche, nous arrivons au grand Bouddha de Kamakura. Haut de 12m environ il s'agit de la 2eme plus grande reproduction de Bouddha du Japon, après celle de Nara. Mais contrairement à celui de Nara justement, il n'est pas abrité et à les paumes des mains tournées vers le ciel, comme s'il se préparait à la méditation. On peut rentrer à l'interieur, mais il n'y a rien d'extratordinaire à voir à part la stucture en ferraille. Nous repartons ensuite à la gare JR en bus.

 

 

Arrivés à la gare centrale, nous faisons un petit tour dans la ville avant de repartir. C'est toujours blindé de monde, et on s'arrete au Starbucks se prendre des trucs à emporter. Bien mal nous en a pris, nous nous sommes balladés pendant plus d'une heure avec nos gobelets vides à la main faute de trouver une poubelle (c'est un objet très rare dans les rues Japonaises). Ce n'est qu'en retournant à la gare pour prendre le train que nous avons pu nous dellester de nos déchets.

 

 

Sur le chemin du retour, nous nous arretons à Yokohama, pour manger encore une fois les bons okonomyaki d'Yves avant de rentrer en France. En plus, ça lui fait plaisir de voir des étrangers dans son tout petit restaurant.